L’auto-stoppeur.
Cette histoire m’est arrivée pendant mes vacances dans le sud.
J’étais en voiture, je musardais à la recherche d’une crique pas trop peuplée afin de lézarder un moment au soleil et de me baigner un coup.
J’étais vêtu d’un T-shirt et d’un magnifique short Adidas en Nylon bleu-ciel avec les 3 bandes blanches des années 70-80 (mes préférés).
Je roulais donc, à vitesse modérée lorsque à la sortie d’un virage, je vis THE Jeans. Un mec affublé d’un Levi’s déchiré ou il fallait, comme il fallait. Bref, le
jeans à te foutre une trique monumentale. Le propriétaire de cet objet de convoitise était grand, mince et vêtu entre-autre d’un T-shirt blanc qui n’avait pas vu la couleur d’une poudre à lessive
depuis un certain temps et de Converse noires. Il avait la position des gens qui font du stop sans trop y croire vu que la route en question était très fréquentée et qu’il n’avait pas beaucoup de
succès auprès de mes prédécesseurs.
Je m’arrêtais un peu plus loin afin d’abréger son calvaire de piéton. A moi, çà me permettrait de discuter un moment avec quelqu’un et surtout, je pensais que je
verrai ce jeans de très près et que je pourrais peut-être même le toucher. Il me fit un grand signe et se mit à courir afin de ne pas me faire trop patienter du fait que je gênais un peu la
circulation ou je m’étais arrêté.
Une fois à l’intérieur de la voiture et les banalités d’usages passées, je redémarrais et entamais la conversation.
Eric me raconta qu’il était descendu sur la côte en stop depuis la Belgique. Je lui proposai de se joindre à moi pour la partie de baignade. Il était
d’accord.
Tout en roulant, je ne pouvais m’empêcher de regarder de son côté et plus particulièrement son Levi’s. J’essayais de deviner ce qu'il pouvait bien avoir à
l’intérieur. Je fantasmais de plus en plus sur cet objet de ma convoitise.
Du coup, discrètement, je portais ma main vers la bosse que faisait ma teub dans mon short et essayais de la cacher du mieux possible car je ne connaissais rien de
mon passager. Il aurait pu s’offusquer de voir mon état.
Je constatais également qu’il avait sa main droite sur son sexe et que celle-ci opérait discrètement un mouvement de va et vient sur le jeans.
Tout en discutant, j’essayais de remettre de l’ordre dans mon short car il commençait à ne plus avoir assez de place pour une queue qui continuait à prendre du
volume. Eric constata l’ampleur du désastre et approcha sa main gauche de ma cuisse droite. Il se mit à me caresser l’intérieur de la cuisse avec une certaine prudence, ne connaissant pas mes
intentions. Il aurait pu tomber sur un hétéro pur race qui n’aurait pas du tout mais alors pas du tout apprécié ses caresses. Mais voilà, il est tombé sur le Bi de service (moi) et voilà que je
me laisse faire.
Je pousse même plus loin ses investigations, je l’invite carrément à venir entretenir ma bosse, ce qui me permet de reprendre le volant de la main gauche et de
libérer la droite pour aller à la rencontre de ce magnifique ensemble Teub-Levi’s qui me met dans cet état depuis un bon moment. IL semble apprécier également mes caresses. De fil en aiguille,
j’apprends qu’il est Bi comme moi, que les mecs le font plus bander que les femmes, tout comme moi, et qu’il goûterait bien ce qui se trouve à l’intérieur de mon Adidas bleu-ciel.
J’arrêtai la voiture sur une aire de stationnement déserte. De là partait un petit chemin dans les arbres et descendait vers la mer dans une petite crique qui
aurait pu accueillir tout au plus 4 personnes sur les 3, 5 m2 de sable. Il y avait beaucoup de rochers qui permettaient de se mettre à l’abri des regards indiscrets. J’avançais avec peine, à
cause de l’encombrement qu’il y avait dans mon short qui, décidément commençait à venir trop petit.
Eric avait tout autant de peine à avancer, vu que, dans son 501, il ne devait plus avoir beaucoup de place non plus.
Arrivés sur place, je n’y tint plus et je me jetai sauvagement sur ce Levi’s délavé, déchiré, et défit les boutons de la braguette. Ici, m’attendait une surprise et
de taille. Sous son jeans, Eric cachait un short de course Adidas rouge de la même époque que le mien. C’est à ce moment là que tout à basculé. Je commençai à lécher la bosse de son sexe au
travers du short dans le jeans. Il comprit mon problème et se mit en devoir de détacher le cordon qui tenait mon short en place et y introduisit une main fébrile à l’intérieur afin d’évaluer, en
connaisseur, le volume qu’il aurait bientôt dans la bouche.
Il enleva son jeans, le jeta sur le sable et partit en courant dans l’eau. Je le suivis. Je passe les détails sur le short mouillé avec une tige à l’horizontale.
Comme discrétion on fait difficilement moins bien!
Nous nous ébattions comme des gamins dans cette eau d’un bleu azur et d’une température plus qu’agréable.
Je m’approchai d’Eric et entrepris de lui rouler un patin tout en lui caressant le dos de haut en bas, jusqu’à l’élastique de son short. Il fit de même avec moi et
en plus entrepris de sortir ma queue de ce short qui l’emprisonnait. Il plongea et se mit à me sucer sous l’eau. C’était divin. Ne sachant pas bien retenir ma respiration sous l’eau (Je ne sais
pas nager (Eh oui, çà arrive)), je me contentais de lui prodiguer des caresses afin d’entretenir sa magnifique érection.
Une fois sortis de l’eau, nous nous sommes allongés derrière un gros rocher. J’avais pris soin de récupérer son 501 pour m’allonger dessus, et le caresser (ah les
fantasmes).
Là, j’entrepris de baisser son short et de saisir sa teub afin de lui rendre la pareille. Sous le short, il ne portait pas de slip ce qui simplifia les choses
confirma ce que j’avais cru sentir en le caressant. On de mit en 69 et commença à se sucer comme des affamés d’ice cream (en cette saison c’est normal non ?).
Il ne résista pas longtemps à mes caresses et à ma succion, il largua tout dans ma bouche et sur son jeans qui, en plus d’être délavé, déchiré, un peu sale, est
maintenant plein de sperme, de son sperme et du mien, car je n’ai pas résisté longtemps non plus à son régime. J’ai tout lâché immédiatement après lui. Il en avait plein la bouche, le jeans n’a
pas résisté non plus. Je frottais mon short sur ce mélange et entrepris de le lécher (Le short bien sûr).
Eric enfila à nouveau son short, son 501 et récupéra la reste de foutre avec ses doigts et les suça comme on se lèche les doigts trempés de sauce, avec ce bruit de
succion caractéristique.
Nous avons changé de place et nous sommes mis un peu à l’ombre des pins dans cette petite crique. Nous nous sommes caressés, embrassés et avons fini par nous
assoupir.
Le vent s’était levé. Le soleil commençait à décliner à l’horizon quand nous nous sommes réveillés. Le sperme avait séché sur mon short et formait une zone un peu
dure ainsi qu’une auréole explicite. Le Levi’s d’Eric sentait, en plus du mec qui a marché toute une journée, un mélange de nos foutres respectifs. Il se dit qu’il ferait bien d’aller le laver
avant de continuer son périple d’auto-stoppeur.
Nous sommes remontés à la voiture et je l’ai déposé au village. Je lui ai posé la question cruciale à savoir s’il allait s’arrêter quelques jours dans la région, et
sa réponse fut affirmative. Je suis revenu plusieurs fois dans cette crique, durant mon séjour. Eric y est revenu une seule fois avec son short mais sans son jeans qui devait sécher quelque part
ou qui devait avoir fini son voyage dans une poubelle quelconque. Nous avons passé un après-midi inoubliable dont nos shorts se souviennent.
Merci Adidas pour les shorts que tu as fabriqués dans ces années 70-80. Dommage qu’on en trouve plus dans le commerce.
J'aime aussi les short Adidas, d'ailleur j'en ai 1 blanc coton , et un bleu nylon d'un pote a moi laisser chez moi,que je garde prècieusement;
Merci Matiou de nous raconter ces belles avantures vécus, de nous régaler avec les belles photos.
De rien mais c'est pas moi qui raconte ces histoires, c'est mon ami LEVISLOVER!
Cette histoire et une belle aventure vêcu, j'ai beaucoup aimé ; Merci a Lewis lover