Lundi 7 octobre
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Bonjour à tous, je vous propose aujourd'hui de suivre les aventures de Levislover
Je le remercie par la même occasion pour ses textes bien bandant flirtant entre aventure réelles et fantasmes
L'inconnu du train
Tu te prépare à quitter ton boulot. Je ne suis pas loin (oh juste sur le quai de la gare).
Je musarde en me demandant bien ce que je vais pouvoir faire quand tu apparaît dans le hall.
Je flashe immédiatement sur ton 501 un peu serré qui dessine une bosse prometteuse
(tu as lu des mails qu'un mec t'avait envoyés juste avant et le résultat est là).
Je décide de te suivre, comme çà, à l'instinct.
Le train entre en gare, nous montons, je m'installe dans le compartiment juste derrière le tien en diagonale, comme çà je peux voir sans attirer l'attention. Tu as
l'air affairé et tu ouvre un porte documents. Tu sors une série de feuilles que tu commence à compulser. Ta
main se dirige vers la bosse qui devient de plus en plus proéminente.
Elle (la main) commence un petit va-et-vient discret qui en dit long sur tes intentions et sur le contenu du papier que tu lis. Deux doigts se sont glissés entre
les boutons de ton Levi's et chacun d'eux a sauté ce qui permet de libérer une bite qui ne demandait que çà. Tu ne porte pas de slip sous ton jeans ouaw...
Si personne n'a rien vu, moi je n'en ai pas perdu une miette et je me mets aussi à me caresser. Cà en devient pénible et il va falloir bientôt se lever pour
descendre du train. C'est à ce moment là que tu te lèves et te dirige vers les wc pour, je suppose, te soulager. Moi, je me contente de tout balancer dans mon slip...
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Le train s'arrête et tu descend. Je te suis. Tu
musarde sur le quai, moi je m'enfile aux wc de la gare pour contempler l'ampleur des dégâts (en effet, çà commence à coller dans mon calbar rouge. Et là, c'est toi qui me rejoins dans les
chiottes. Je suis en train de contempler le liquide blanchâtre qui entoure ma bite et tu me la chope entre tes mains. Tu récupère le liquide pendant que moi, je palpe ta bosse toute humide. Au
contact de ton jeans humide, je me remet à bander et tu profite pour gober mon gourdin dans ta bouche délicieusement chaude. Moi, je continue à te caresser (j'ai plongé ma main dans ton jeans et
je constate que ce que j'avais vu était bien vrai. Tu n'as pas de slip dans ton levi's usé et légèrement déchiré à l'entre-jambe. Ce qui me permet, avec l'autre main de m'insinuer dans le trou et
te caresser les couilles. L'effet ne se fait pas sentir longtemps, tu gicles presque immédiatement dans ma main. Je la retire et la lèche pour goûter ton foutre.
Ce liquide chaud me fait lâcher le mien une deuxième fois , mais cette fois c'est pas mon slip ni mon jeans qui le ramasse mais ta figure.Tu te lèches les babines
et on finit par se rouler une pelle qui mélange nos spermes respectifs.
On se quitte sur ce quai de gare, mon train pour Fribourg arrive et toi tu monte dans le train de Châtel le jeans encore plus humide et moi le mien qui se
trempe.
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Lorsque mon train entra en gare, je remarquai, en queue, une ancienne voiture à compartiment (celles qui avaient un couloir latéral et des compartiments à 6 places
qu'on pouvait fermer. Je montai donc dans ce wagon. En remontant le couloir , je constatai que j'étais seul. J'entrai dans un compartiment vide et fermai la porte. Je regardais défiler le paysage
et je ne pus m'empêcher de repenser à ce qui m'était arrivé dans les wc de la gare peu auparavant.
D'ailleur mon Levis s'en souvenait aussi. Je me mis à me caresser à travers le jeans puis, je poussai mes investigations plus loin et j'enfilai ma main dans ma
braguette et là, je sentis mon slip encore mouillé de foutre ce qui décupla mon érection. Je me palluchais vigoureusement quand mon regard se porta vers la porte du compartiment et quelle ne fut
pas ma surprise de voir un mec qui me mâtais en se frottant contre la paroi. Ce que je faisais devait lui faire de l'effet. Je l'invitai à venir, il ne se fit pas prier deux fois.
A peine entré, il me sauta dessus et me roula une pelle d'enfer et remplaça ma main par la sienne sur mon sexe prêt à sortir. Il senti l'humidité ce qui décupla son
envie.
Il me défit la ceinture, déboutonna mon 501 et commença à me bouffer les couilles dans les règles de l'art. Je ne fis pas long à déglutir mon foutre dans sa
bouche. Pendant qu'il me bouffait en connaisseur, je le branlais vigoureusement si bien qu'il gicla sur ma figure un jet de sperme chaud et puissant. Il entreprit de me rouler à nouveau une pelle
d'enfer et lécha son sperme que j'avais sur la bouche. Je fis de même avec ma jute qui sortait encore de ses lèvres. Puis nous nous sommes rhabillés car le train entrait en gare et que je
descendais là. En quittant le wagon, j'observais son petit cul que j'aurai bien enfilé ma foi. Ce sera peut-être pour une prochaine fois.
Les photos illustrant ce texte sont tirées du net
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