Le blog de Matiou fin

Merci à toi pour ce nouveau texte sur ta vie de routier, photos en prime

 

Snapshot 20140910

 

Depuis tout jeune j’ai été attiré par les camions, la route, l’aventure. Quand j’ai eu 12 ans, mon père m’a permis de partir avec un copain à lui dans son camion pour une « expédition » en Espagne, périple de 3 jours et 2 nuits dans le camion, mon rêve.

 

Ce voyage c’est très bien déroulé, j’ai aimé les rencontres, les odeurs, les paysages. Chaque année, j’ai eu droit à « ces petites vacances » routières.

 

J’ai découvert de nouveaux pays, j’y prenais de plus en plus de plaisir, j’adorais ces amitiés viriles qui se créaient.

Quand j’ai eu 18 ans, je suis parti pour un long voyage en bahut vers l’Allemagne, la Pologne, puis la Russie. Le copain de mon père, un grand mec moustachu et très poilu, était accompagné d’un collègue pour le relayer. Ce collègue blond et poilu avec un bon petit bide.

 

C’était en juillet et il faisait très chaud et dans les camions il n’y avait pas encore de clim. Nous étions obligés de rouler en short et débardeur. De plus une forte odeur de male remplissait la cabine. Le premier midi, arrêt pipi sur une aire d’autoroute. Dans les urinoirs, nous nous alignons tous les 3 pour pisser, urinoirs bien sympa ou il n’y a juste qu’une plaque en inox . Je sors ma bite en la cachant avec ma main et commence à me lâcher. On discute et mes yeux vont de droite et de gauche. Mais, je reste scotché sur le matériel du collègue qui a tout déballé pine et couilles , bien décalotté et qui balance un jet d’une grosse puissance sans aucune gène....

 

Un peu troublé, mon cœur s’accélère et je sens mon sexe qui enfle. Je le cache un peu mais trop tard le copain m’a vu. Merde, c’est foutu, ils vont me prendre pour un pd.

 

On remballe le matos on va bouffer et on remonte dans le camion pour faire une petite sieste. Il fait une chaleur à crever. Les 2 routiers se foutent en slibard (slibard kangourou avec des traces jaunes et une forte odeur). Les mecs sont couchés sur les couchettes du bas, moi en haut. Un peu intimidé je reste en short et je m’endors très vite.

 

Au réveil, comme presque tous les jours, j’ai le sexe collé au ventre tellement il est raide et je me caresse doucement.

Sous moi, j’entends comme des bruits de succion. Je me penche et je vois mes 2 routiers tête bêche en train de se bouffer le cul puis la bite avalant le gland et la tige. Je ne peux plus quitter le spectacle des yeux. Je me penche un peu plus, et un des gars m’aperçoit : tu aimes il me dit. Pas de réponse je suis pétrifié. Il se lève en exhibant sa pine énorme sous mon nez et me prend le sexe a pleine main, le sort du short et commence à me branler. Je suis raide de peur. Il enfourne ma queue dans sa bouche, le gland frotte sur sa grosse moustache à chaque aller et retour. Je tiens pas 1 mn je lui lâche tout dans la bouche 4 giclées puissantes. Je m’excuse mais Il a l’air content, redescend vers son copain et lui roule un patin avec mon sperme, ca coule le long des 2 bouches. Ils se continuent en se suçant. Je rebande. Le collègue se met en levrette et le copain l’encule en s’arrêtant juste avant de jouir.

 

On est descendu du camion et on s’est branlé tous les 3 face aux autres camions. L’un des 2 routiers a tout craché sur son slip. On l’a imité tous les 2 et on a ensuite remis nos slips bien baveux puis on a uriné à travers, ordre du copain.

 

A partir de maintenant et jusqu'à la fin du périple (15 jours), interdiction de se laver le gland et la tige et de changer de slip.

 

J’étais maintenant baptisé et je faisais partie du groupe

 

Si vous aimez je vous raconterai la suite du voyage.

 

 

Snapshot 20140910 4

 

Je rajoute ton texte dans la rubrique "vos histoires"

Lun 15 sep 2014 1 commentaire
Super !!! je suis ok pour connaitre la suite
bouqueniaux - le 16/09/2014 à 07h09