Carnet de voyage au Zobkistan - suite

(Photo #1) Le premier matin, crevé que j'étais par la chaleur (j'ai dormi à poil sur le lit, la tête au pied du lit), j'ai demandé au room service de me monter mon petit déjeuner. Pour montrer son implication, c'est le directeur qui a lui même fait le service. Seulement, manquant d'habitude, il a maladroitement trébuché sur la banquette au pied du lit et est tombé pile poil (!) sur moi. Hasard de la chute : Son sexe s'est malencontreusement retrouvé encastré dans ma bouche ! C'était très embarrassant (mais pas désagréable).

(Photo #2) A la faveur d'une séance de baignade, j'ai pu discrètement constater que mon voisin, qui occupait la chambre 696, était complètement parano question sécurité, et ne se séparait jamais d'une étrange gros gourdin qu'il portait en permanence à la ceinture.

(Photo #3) Observateur toujours, j'ai discrètement remarqué une particularité amusante de la virilité du voisin de la suite des FlotsDeJus : Telle une boussole inversée, elle indiquait toujours le Sud, quelle que soit la position adoptée par son propriétaire !

(Photo #4) A l'étage au-dessus, j'ai pu remarquer que l'aménagement de la terrasse n'était pas terminé : une barrière en bois mal fixée menaçait de tomber à la première brise. Consciente du problème et prenant ses responsabilités, la direction avait carrément affecté une personne pour la tenir en permanence. Pauv' gars, avec la chaleur à crever, il tenait plus, il a fini par faire le job à poil.

(Photo #5) Un autre voisin du dessus était bien embêté par la générosité de la nature à son égard : Pas moyen de faire un sexelfie, ça ne tenait pas dans le cadre, même avec le téléphone à bout de bras et en penchant la tête ! Bah moi je dis que sur cette photo il a vraiment une tête de noeud ! :D

(Photo #6) C'est un peu mal cadré mais on devine derrière du matériel hifi. En effet, Pedro avait trouvé un jeu très amusant dans la petite salle audiovisuelle : Installé nu sur un fauteuil, musique à fond, il battait la mesure avec, heu... Bé avec ce que la nature lui a donné de plus pratique pour ça :-) (Parfois il nous faisait marrer en lui faisant faire des tours complets en criant "hélicoptère !". Nous on comptait les tours complets, tous en choeur)

(Photo #7) Y'a des gens qui portent bien mal leur nom : Par exemple Robert Muda, le plagiste. Hé bien de tout le séjour, je l'ai jamais vu en bermuda. En revanche, il n'a jamais quitté son débardeur moulant en poil de yéti, même pour piquer une tête. Bizarre, bizarre... (mais plutot sexy, finalement)